Coup de queue au PAYS BASQUE

Coup de queue au PAYS BASQUE

Sarah

10/25/20243 min temps de lecture

L’été dernier, mes 2 amies et moi-même avons passé une semaine de vacances dans le Pays basque. Lors de ce séjour, j’ai fait la connaissance de Luc. Je suis tombée directement amoureuse de lui. C’est un jeune homme tout simplement beau. C'est le genre d’homme qui attire le regard de toutes les femmes. Il est brun, mate de peau avec des jolis yeux verts. Son corps est très athlétique. Au fur et à mesure de notre relation, nous nous apercevons que nous vivons tous les 2 à Paris et dans des arrondissements limitrophes. Je suis enchantée. Cela ne va pas être seulement un amour de vacances. De retour à Paris, nous continuons donc notre relation intense. Cela fait aujourd’hui 4 mois que nous sommes ensemble. Il me propose donc de rencontrer son père. Je suis ravie. Cela me prouve qu’il s’investit dans notre histoire. Peut-être est-ce mon prince charmant finalement ? Sans plus de plaisanterie, j’accepte sa proposition et le week-end d’après, nous nous rendons chez son père. Nous arrivons dans une jolie maison de campagne. Le lieu me semble familier. Un air de déjà-vu. Luc tape à la porte. Son père ouvre la porte. Ohhhh lala. Je connais déjà le père de Luc.

Nous avons eu une relation il y a un peu plus d’un an. Cette relation était basée seulement sur le sexe. Il m’a fait vivre de nombreuses expériences sexuelles : le libertinage, l’échangisme, le voyeurisme… Je suis très mal à l’aise. Le père de Luc m’a reconnue bien sûr. Cette situation l’amuse. Je remarque son sourire en coin. Nous entrons dans la maison et commençons à boire un verre. J’ai le regard baissé. Luc remarque mon mal être. Je mets cela sur le compte du trajet en voiture. Après l’apéritif, je vais me rafraîchir dans la salle de bain. Quelques minutes après, le père de Luc entre et me surprend. Il remémore les instants passés ensemble tout en se rapprochant de plus en plus de moi. Cela me met dans tous mes états. Il met sa main sous ma robe et me caresse la chatte à travers mon string. Je mouille. Je culpabilise. Mince c’est le père de mon mec tout de même. Je lui hurle d’arrêter. Il me met la main sur la bouche et me dit que dorénavant je serai son esclave sexuelle sinon il va tout dire à Luc. Il sort ensuite de la pièce. On se retrouve tous dans la salle à manger. Le repas se déroule sans accroc. En repartant, le père de Luc me chuchote dans l’oreille que je suis sa petite salope et qu’il souhaite me voir demain.

Le lendemain, je me présente chez lui en fin de journée. Je me sens petite et fragile. Je sais que je dois lui obéir si je veux rester en couple avec son fils. Dès l’entrée de sa maison, il me tire par le bras et m’ordonne de me mettre à 4 pattes. Je le fais sans discuter. Il soulève ma jupe et me claque fort les fesses. Surprise, je sursaute. Il déchire mon string et m’insulte de pute, de chienne et de salope à tout va. Toujours à 4 pattes, il se met au niveau de ma tête et commence à déboutonner son pantalon. Il sort sa bite. Il me prend par les cheveux et m’enfonce sa queue au fond de la gorge. Je manque de m’étouffer mais je vois bien qu’il n'en a rien à faire. Il me met ses couilles sur le visage. Il les frotte sur mon nez, mes joues… Je me sens tellement soumise. Une fois fini, il me prend brutalement par les hanches et enfonce sa queue au fond de ma chatte. Le coup me surprend. Puis il continue à me baiser de plus en plus fort. Je sens ses couilles tapées sur mon cul. Il est tellement bestial. Mais cela m’excite en fait. Il m’insulte encore et encore. J’ai la chatte toute mouillée. Je m’en veux de me faire baiser par le père de mon copain. Je m’en veux de ressentir du plaisir. Après quelques minutes de pénétration intenses, il sort sa bite de ma chatte, se branle devant mes yeux, mon nez et m’envoie tout son sperme sur mon visage. Je me sens souillée. Il me dit que je suis en fait un garage à bites et que je ne mérite que du sperme sur ma gueule de pute. Je ne réponds pas. Je suis toujours la par terre, à genoux, je n’arrive plus à bouger. Non seulement j’ai du sperme sur les yeux et je ne vois rien mais en plus j’ai les jambes toutes flagada. Il finit par me jeter une serviette par terre. Je la récupère et m’essuie. Je n’ai qu’une envie : rentrer chez moi. Je me rhabille en quatrième vitesse. Je ne le vois pas. Je ne sais pas où il se trouve. J'en profite pour m’enfuir et sortir de la maison. Je cours, tête baissée, dans l’allée pour rejoindre ma voiture. Je relève la tête et je tombe nez à nez avec Luc. Oups !

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