Domina au bureau

Quand la cheffe commande sous la jupe

Câline

7/29/20254 min temps de lecture

Domina au bureau :
Quand la cheffe commande sous la jupe

Je suis une femme qui aime le pouvoir. Cheffe d’entreprise exigeante, j’ai bâti mon empire à force de travail, de flair et d’assurance. Mais dans l’ombre de mon autorité froide se cache un besoin plus brûlant encore : celui de dominer autrement. Pas seulement en réunion, pas juste à coups de contrats signés. Mais en privé. Par ma voix, mon ton, mes ordres. Et dans l’univers du téléphone rose, ce besoin trouve enfin son terrain de jeu. Là où je peux transformer n’importe quel auditeur docile en esclave de mes désirs.

J’aime les hommes bien élevés. Les hommes qui disent bonjour, les hommes qui prennent des notes, les hommes qui se tiennent droits face à moi… avant de se mettre à genoux quand je l’ordonne. Mon fantasme de domination prend racine dans ces détails du quotidien. Un planning bien tenu. Un stylo parfaitement aligné. Une cravate serrée. Et tout s’effondre quand j’ouvre la bouche. Ils tombent dans ma toile, au fil de ma voix sensuelle, et deviennent ce que j’attends : des assistants à tout faire, soumis, fidèles… et très obéissants.

Sur mon téléphone rose, tout commence comme un coaching classique. Je suis là pour les guider, leur apprendre à mieux gérer, mieux diriger, mieux plaire. Mais très vite, la dynamique bascule. Car ce n’est pas moi qu’ils dirigent. C’est moi qui prends les commandes. Je leur ordonne de retirer leur pantalon. De me décrire leur posture. De noter ce que je dicte, même si c’est absurde, sale, cruel. Je les transforme en simples secrétaires de mon plaisir. Et ils aiment ça. Oh oui, ils en redemandent.

Je me masturbe souvent pendant ces appels. Lentement, au rythme de leur humiliation. Mon sextoy préféré dans ces moments-là, c’est mon plug noir en métal, celui que je garde au chaud pendant les réunions stratégiques. Quand je me penche au-dessus d’un PowerPoint, ils n’imaginent pas que je suis déjà prise, déjà pleine. Mais quand je décroche la ligne privée de mon sexe par téléphone, alors je peux enfin le dire. Enfin jouir.

Un jour, il m’a appelée. Voix hésitante, jeune cadre débordé. Je l’ai senti tout de suite : il avait besoin d’être recadré. Dressé. Ramené à l’essentiel. Je lui ai imposé de créer un planning uniquement dédié à mes orgasmes. Il devait me téléphoner à heure fixe, se tenir nu, s’agenouiller devant son bureau et écouter mes instructions. Il prenait note de chaque mot que je prononçais. Il copiait mes soupirs dans un fichier Excel. Il organisait mes pulsions dans des tableaux. J’étais sa patronne, mais j’étais aussi sa déesse.

Le fantasme de cheffe d’entreprise dominatrice est d’une richesse infinie. Il permet de mêler la rigidité du monde professionnel à l’abandon total du contrôle. Je suis cette femme en tailleur, brushing parfait, mais qui fait claquer sa cravache sur la cuisse d’un homme nu. Je suis cette PDG aux escarpins de cuir, qui enfonce ses talons entre les cuisses d’un assistant transpirant. Je suis cette voix ferme, qui murmure à travers la ligne téléphonique : « Tu es à moi. »

Et puis il y a mes jouets coquins. Ma collection s’agrandit à chaque mois. Le womanizer, pour me faire exploser en silence pendant qu’un client me décrit comment il se touche sur son bureau. Le gode ceinture que je caresse en imaginant l’installer moi-même sur ses reins. Les menottes en cuir que je fais claquer doucement pendant que je lui raconte ce que je vais lui faire s’il oublie un appel. Et surtout… le Lush.

Ah, le Lush. Ce petit bijou vibrant, télécommandé, connecté. Je le glisse en moi avant l’appel. Je l’allume en douce. Et souvent, je lui donne le contrôle. Il devient mon assistant, littéralement. Il choisit l’intensité. Il écoute mes halètements. Il comprend qu’un soupir plus fort signifie : continue. Qu’un gémissement étouffé signifie : augmente. Il me fait jouir sans me toucher. Il apprend à lire mon corps par ma voix sensuelle. C’est ça, être sous mes ordres. Un jeu d’esprit, une tension invisible, un fil tendu entre mes jambes et ses doigts, entre ma bouche et sa honte.

Il n’est pas rare qu’ils pleurent. Qu’ils remercient. Qu’ils demandent à revenir. Car je leur offre ce qu’aucune autre ne leur offre : une structure pour leur perversion. Une discipline pour leur désir. Je suis leur guide. Leur boss. Leur maîtresse.

Et quand la conversation se termine, quand ils raccrochent, ils gardent en eux ce que je leur ai transmis. L’image d’une femme libre, puissante, insolente. Une femme qui transforme un appel en scène de soumission téléphonique. Une femme qui jouit en vous écoutant gémir.

Certains me laissent des messages. Des mots tremblants. D’autres m’écrivent des lettres, avec des détails sur la manière dont ils obéissent désormais à toutes mes règles. Je suis leur protocole intime. Leur règlement intérieur. Leur voix de commandement. Sur le téléphone rose, je suis une entreprise à moi seule.

J’ai des fiches pour chaque soumis régulier. Je note leurs fautes, leurs progrès, leurs fantasmes. Je les catégorise. Les analytiques, les émotifs, les désespérés, les bruts. Je suis leur cheffe RH du vice. Et je ne prends jamais de congés.

Parfois, je me regarde dans le miroir. Nue, après un appel. Les jambes encore tremblantes, le Lush toujours en moi, clignotant doucement. Et je souris. Parce que dans ce double univers — celui de la femme d’affaires, et celui de la dominatrice vocale — je suis pleinement moi-même. Sans filtre. Sans pitié. Sans faux-semblants.

Alors si tu appelles ma ligne, attends-toi à ne pas simplement entendre une voix chaude. Tu vas recevoir un ordre. Un planning. Une mission. Et tu vas m’obéir. Parce que dans ce monde, je suis la boss, et toi, tu n’es qu’un objet à polir.

Et crois-moi… j’adore quand ça brille.