Du fantasme de l'uniforme à l'acte réel

Baisez-moi Monsieur l'Agent

Sarah

8/27/20244 min temps de lecture

C’est une belle soirée d’été. Je porte une petite robe légère et un string. Je n’ai pas de soutien-gorge. Je rentre d’un dîner avec mon meilleur ami. Je dois prendre ma voiture pour rentrer chez moi. Je roule quelques minutes quand je me fais arrêter par la police. Heureusement je n’ai bu que deux verres de vin pendant le repas. Je pense que cela n’aura pas de répercussions. Comme une citoyenne modèle, je coupe le contact et baisse ma vitre. Le policier s’approche de celle-ci afin de me parler. J’aperçois son visage à la lumière du réverbère. Il est tout simplement beau, sans oublier l’uniforme qui rend de nombreux hommes très sexy. Il a les cheveux bruns, des yeux bleus persans et des dents d’une blancheur hors du commun. Éblouie par cette beauté masculine, je n’arrive pas à décrocher mes yeux des siens. A-t-il remarqué que j’étais en train de craquer pour lui? Je n’espère pas. Il me salue poliment d’un gentil bonsoir et me demande mes papiers. Je ne réponds pas de suite. Il a fallu qu’il répète sa question à 3 reprises avant que je sorte, la gorge nouée, un « oui » timide. Je lui tends mes papiers d’une main tremblante. Je suis ridicule. Je n’ai jamais vu un homme aussi beau. Cela me rend complètement stupide. Il observe mes documents avec attention et moi c’est sa bouche, ses lèvres que je regarde avec attention. Je m’imagine en train de l’embrasser goulûment, de goûter sa langue et d’avaler sa salive avec excitation. Il tarde à regarder mes papiers. Je pense alors à cette bouche sur ma chatte. Je deviens toute rouge. J’aimerai qu’il me lèche la chatte, qu’il écarte mes lèvres avec sa langue et qu’il rentre celle-ci au fond de mon trou. Je sens une chaleur en bas de mon ventre.

Après quelques minutes, il me rend mes documents en me disant que tout est en règle. Oh mince, j’aurai tellement aimé qu’il me mette les menottes. Il me regarde droit dans les yeux. Je suis gênée. Il me met mal à l’aise. Je rougis à nouveau. Il m’ordonne de sortir du véhicule. Je remarque son collègue, hypnotisé par son téléphone, sur le siège passager de la voiture de police. Il me demande si j’ai consommé des substances illicites. Je fais juste un non de la tête. Il sourit. J’ai l’impression qu’il a deviné que je n’étais pas insensible à son charme. Il en joue. Cela l’amuse. Il rajoute en me demandant si j’ai des substances illicites sur moi. Je réponds sans trop réfléchir oui d’un hochement de tête. Or je n’en ai pas. Qu’ai-je fait ? Ma bêtise va me conduire au poste de police. Il me regarde avec insistance avec ses beaux yeux bleus. Je suis totalement déstabilisée. Je reprends mes esprits et lui dit non en m’excusant. Il me répond avec un grand sourire qu’il va vérifier. Il agrippe mes poignées et me relève les bras. Il commence à parcourir mes bras. Je me rends compte qu’en fait il me les caresser. A un moment donné, on se retrouve nez à nez et je lui dis que je ne suis pas sure qu’il ait le droit de me fouiller. Il me répond que le droit il se le donne. Son statut d’homme de pouvoir m’excite beaucoup. Je sens que je commence à mouiller. Avec ses mains, il arrive au niveau de ma poitrine. Je me souviens, tout d’un coup, que je n’ai pas de soutien-gorge. J’ai une grosse poitrine. Je fais du 100C. Je sens ses mains autour de mes seins. Ce n’est pas une fouille. Il me plote les seins. L’absence de soutien-gorge et la finesse de ma robe me permettent de sentir parfaitement ses mains viriles sur ma poitrine. Il descend sur ma taille. Il me serre fort à ce niveau là comme si il souhaitait me soulever pour que je m’empale sur sa queue. Avec ses pieds, il me fait écarter les cuisses. Il place sa main droite sous ma jupe, au niveau de mon entrejambe. Cette fois ci je suis certaine de moi. Ce n’est pas une fouille. Il fait des va et vient en frottant ma chatte à travers mon string. Ces brefs mouvements me font mouiller de plus en plus. J’ai envie de lui. J’ai envie de sa bite au fond de ma chatte. J’aimerai qu’il me jette sur le capot, qu’il écarte mes cuisses et qu’il me baise fort. Il a ses deux mains posées sur mes cuisses. Tout en ne me lâchant pas du regard, il me caresse les jambes jusqu’aux chevilles. Je ne dis aucun mot. Il se relève et d’un mouvement brusque et dominant, il me retourne. J’ai les mains sur le capot. Je sens sa bite contre mes fesses. Je suis sure qu’il fait semblant de palper mes bras. Je sens qu’il bande. Il se frotte de plus en plus contre mes fesses, au point de relever ma robe. Je respire fort. Je sens son souffle dans mon cou, dans mes oreilles. Je vais jouir. Je pousse un petit cri de jouissance. Je ne veux pas déranger son collègue. Il s’éloigne de mon corps. Je me retourne. Sourires coquins, regards complices, je me rhabille un peu et il me souhaite une bonne fin de soirée. Je ne sais pas s’il a giclé dans son bel uniforme mais merci monsieur l’agent.

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