Moment de complicité au tel
Du rire et du sexe au tel rose
Sarah
7/7/20243 min read
C’est une soirée de travail comme toutes les autres. Je parle à tous ces hommes avides de sexe depuis maintenant 3 heures. Je passe de bons moments rythmés par le plaisir et l’excitation sexuelle. J’ai fait gicler de nombreuses queues. J’ai écouté et raconté des histoires sexuelles, fait des scénarios… Je pense néanmoins faire une pause dans peu de temps.
Je décide de prendre un dernier appel. Il s’agit de Jean-Luc (pseudo bien sûr). Nous ne nous connaissons pas. Par conséquent, je lui demande de se présenter brièvement afin que je me fasse une idée de son physique dans ma tête. Il est brun aux yeux bleus. C’est un homme de grande taille plutôt musclé car il fait du vélo de façon régulière. Au niveau de sa pilosité, comme de nombreux hommes modernes, il est rasé au niveau de ses couilles et autour de sa queue. Cette description me mettait l’eau à la bouche. Je sentais que j’avais bien fait de prendre ce dernier appel. Par politesse, je me décris moi aussi. Je lui dis alors que je suis une jeune brune de 32 ans avec les yeux marrons. Je mesure 1 mètre 68 pour 68 kg. Je complète en précisant que j’ai des formes généreuses. J’ai une forte poitrine, je fais du 100C et j’ai des fesses bien rondes. Ma chatte est épilée avec un petit ticket de métro. Je sens que j’ai toute l’attention de Jean-Luc. Il me coupe la parole pour me dire qu’il adore les gros seins. Je lui réponds que je suis ravie de lui plaire physiquement. Je finis mon descriptif en ajoutant que je suis d’origine algérienne. A ce moment-là, Jean-Luc montre un grand enthousiasme. Il m’explique pendant de nombreuses minutes que les femmes maghrébines sont un grand fantasme pour lui. C’est un fantasme qu’il n’a pas encore réalisé. Il adore leur peau hâlée et leur physique généralement tout en rondeur. Il adore également toute la culture arabe, la nourriture, les coutumes... Je lui dis que je suis ravie que mes origines procurent en lui tant d’exaltation.
Il se confie à moi en me disant que ma présentation a provoqué chez lui une érection. Je lui réponds que j’ai envie de goûter sa bite toute dure. Je veux sucer son gland et sa queue et malaxer ses grosses couilles pleines pour ensuite avoir tout son sperme. Au son des gémissements de Jean-Luc, je commence à être excitée. Mes mots ont eu beaucoup d’effets sur lui. J’entends sa queue, je l’entends qu’il se branle. Le bruit des va-et-vient avec sa queue augmente mon excitation. J’empoigne mes seins, je les pétris. Mes tétons commencent à être tout dur. Je descends ma main jusqu’à mon clitoris. Je le caresse. J’attrape mes lèvres. Je mouille. J’étale ma citrine sur toute ma chatte. Je suis toute humide.
Tout d’un coup, Jean-Luc me dit qu’il veut être ma pute. Je suis surprise mais il est tellement excité qu’il veut me satisfaire complètement. Il veut me faire un cunnilingus, manger ma mouille et lécher les lèvres de ma chatte. Hummm ! Il ajoute qu’il veut être à mes ordres et qu’il fera tout ce que je lui dis. En voilà un qui veut se faire dominer. Ce n’est pas un problème pour moi. Je lui ordonne donc de tirer sur ses couilles. Il me confie qu’il aime qu’on joue avec sa rondelle et qu’il a un gode avec lui. Je vais de surprise en surprise avec Jean-Luc. Je lui somme alors de prendre le gode et de l’enfoncer au fond de son cul. Il s’exécute. Je lui dis de s’asseoir sur son gode afin de le sentir encore plus. Il gémit de plaisir et de douleur à la fois, mais c’est le genre douleur qui vous exalte. Il me dit qu’il commence les va-et-vient avec son gode. Ses gémissements me donnent envie de me doigter. Je rentre alors deux doigts dans ma chatte et me masturbe. Dans la folie du moment, Jean-Luc me dit toutes les choses qu’il aimerait faire pour moi, sa maîtresse. Il me dit qu’il veut faire le ménage dans mon appartement afin que je n’aie plus rien à faire et que je sois comme une reine. Il souhaite me faire mes courses ou mieux encore, il veut qu’on aille ensemble chez l’épicier arabe afin de choisir un concombre pour lui mettre dans le cul. Ces paroles ont provoqué en moi un fou rire. Je pleurais de rire. Je n’arrivais plus à respirer. Je ne maîtrisais plus la situation. J’ai tellement ri que bien sûr toute l’excitation est tombée. La mienne. La sienne malheureusement. Après avoir ri pendant plus de 5 minutes, je me suis excusée auprès de Jean-Luc. Sa réponse a été de me raccrocher au nez. Je comprends mais ça valait le coup.