Plaisir brut sur la parking

Fantasme d’une Femme Excitée au Supermarché

Selma

4/30/20255 min temps de lecture

Elle était venue faire ses courses comme n’importe quel jour. Enfin, presque. Car ce jour-là, Fauve avait choisi de ne pas porter de culotte. Sa jupe en jean laissait deviner la courbe pleine de ses fesses, moulées par le tissu tendu. Elle aimait sentir l’air passer entre ses cuisses, glisser sur ses lèvres humides, la friction légère de sa peau nue contre les coutures. Elle avait besoin de cette tension. Un jeu dangereux. Un fantasme en pleine lumière.

Dans les rayons, elle sentait son propre corps réagir à la moindre stimulation. Le chariot vibrait à chaque mouvement. Les poignées métalliques froides sous ses doigts, les néons blancs crissants au-dessus d’elle, les annonces nasillardes au micro… tout formait un contraste brut avec la moiteur qui grandissait entre ses jambes. Elle avait chaud. Elle bandait. Silencieusement. Intensément.

Elle le remarqua d’abord près des produits ménagers. Grand, large d’épaules, jean usé, baskets sales, l’air d’un homme qui n’a pas peur de se salir. Il la regardait franchement. Pas d’esquive. Ses yeux se posaient sur elle comme une main qui la pelotait sans demander la permission. Et elle aimait ça. Elle changeait de posture, se penchait ostensiblement, étirant la cambrure de ses reins, offrant sa croupe comme une réponse silencieuse.

Devant les yaourts, elle laissa tomber un pot exprès. Elle se baissa lentement, les jambes légèrement écartées, consciente qu’il était juste derrière elle. Le frisson fut immédiat. L’air froid du rayon sur sa chatte nue, la sensation humide de sa propre excitation qui coulait lentement, presque honteusement, le long de sa fente.

Elle n’était plus en train de faire les courses. Elle était en train de bander, là, au milieu d’un supermarché. Une femme excitée au supermarché, offerte, tendue, affamée.

Le regard de l’homme s’était fait plus lourd. Fauve le croisait dans chaque allée désormais. Il traçait une route directe entre ses hanches, ses seins, sa bouche entrouverte. Et elle ? Elle suintait de désir. Elle avait l’impression que sa jupe collait à sa chatte tant elle était trempée.

À la caisse, elle n’arrivait même plus à tenir les produits correctement. Elle avait les doigts moites, la respiration irrégulière. Son cœur battait à ses tempes. Elle entendait les bips stridents des articles, le frottement des sacs plastiques, la voix d’une gamine qui pleurnichait à la caisse d’à côté. Tout cela accentuait encore son état d’alerte. Elle voulait qu’il la suive. Elle voulait que ça dégénère.

Sur le parking, elle le sentit arriver avant même de le voir. Il était derrière elle. L’air avait changé. Plus dense. Chargé. Elle déposa lentement ses sacs dans le coffre, dos cambré, fesses en arrière. Le bruit de ses talons sur le béton, la portière qui claque, une bourrasque tiède et sèche… et puis ses doigts.

Rudes. Mâles. Sur sa hanche nue. Il avait soulevé la jupe d’un geste sec. Elle était nue dessous, bien sûr. Et trempée. Il grogna. Elle l’entendit sentir ses doigts après les avoir glissés entre ses lèvres. Elle coulait.

Fauve était penchée contre la voiture, poitrine plaquée sur le métal chaud. L’odeur de la carrosserie tiède, mélangée à l’odeur de son propre sexe qui montait à ses narines, l’excitait encore plus. Le soleil frappait encore fort. Un jeudi après-midi. Plein jour. Parking presque vide. Mais pas désert.

Il écarta ses fesses sans ménagement. Un doigt. Puis deux. Elle haletait. Les bruits de succion étaient obscènes. Vulgairement délicieux. Elle entendait sa propre mouille éclabousser. Il la baisait avec ses doigts comme un animal, les enfonçant profondément, les tordant en elle, jusqu’à la faire gémir à haute voix.

Puis il ouvrit la portière arrière de sa voiture. Noir, vitres teintées. Elle entra à quatre pattes. Le cuir brûlait la peau nue de ses genoux. L’odeur de l’habitacle était un mélange de tabac froid, de sueur d’homme, et maintenant… d’elle.

Il ne parla pas. Il la pénétra d’un coup. Sans prévenir. Sans douceur. Sa queue épaisse entra d’un coup sec. Fauve hurla. De plaisir. De douleur. D’envie.

Chaque va-et-vient claquait, son bassin frappant ses fesses avec un bruit humide, obscène. Le cuir grinçait sous leurs mouvements. Ses seins rebondissaient contre la banquette, ses ongles laissaient des marques sur le tissu, son front heurtait parfois la vitre.

Elle ne pensait plus. Elle baisait. Une vraie scène cochonne sur un parking. Elle ouvrit grand les jambes, lui offrant l’accès total. Il l’empoignait, lui tapait les fesses, les faisait rougir. Elle adorait ça. Elle voulait être humiliée, défoncée, utilisée.

Il la retourna comme une poupée de chiffon. Elle s’allongea sur le dos, les jambes grandes ouvertes, les talons contre les vitres. Il replongea. Brut. Animal. Sa main sur sa gorge, pas assez pour l’étouffer, juste assez pour la dominer. Elle se sentait à lui. Entièrement.

Le bruit de ses couilles qui claquent contre sa chatte trempée résonnait dans l’habitacle. Elle sentait tout : la brûlure de la banquette, l’odeur du sexe, de la sueur, l’humidité partout, les bruits de ses gémissements, le claquement de sa langue contre son palais quand il la pilonnait plus fort.

Quand elle jouit, ce fut comme une décharge. Son dos se cambra, ses jambes tremblèrent, elle se mordit la lèvre jusqu’au sang. Elle cria. Fort. Sans honte. Elle se vida littéralement. Des jets de plaisir s’échappèrent d’elle, inondant la banquette.

Lui aussi jouit. À peine quelques secondes après. Il se vida en elle. Sans préservatif. Sans prévenir. Une chaleur brutale, épaisse, poisseuse, qui coula le long de sa fente encore palpitante.

Ils restèrent là quelques minutes. Fauve haletait, les yeux fermés, les jambes encore écartées, le sexe baveux et sali. Elle aimait ça. Elle était trempée. À l’intérieur, sur les cuisses, sur les sièges. Elle se rhabilla sans culotte. Pas question de s’essuyer. Elle voulait sentir sa semence dégouliner encore sur ses cuisses pendant le trajet.

Dans le rétro, elle se vit. Les cheveux en vrac, le rouge à lèvres étalé, les joues rouges. Elle avait l’air d’une salope. D’une femme qui venait de vivre une partie de jambes en l’air dans un lieu public. Et c’est exactement ce qu’elle était.

Elle redémarra, sans un mot, encore remplie de lui. Elle savait qu’elle reviendrait au supermarché. Souvent. Trop souvent.

Plaisir Brut sur le Parking

Fantasme d’une Femme Excitée au Supermarché