Vacances torrides : ma baignade collective au bord de la piscine

Le fantasme qui m'a fait devenir animatrice de téléphone rose

Câline

5/18/20254 min temps de lecture

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Le soleil écrasait le bord de la piscine. J’avais la peau dorée, la sueur perlait dans le creux de mes reins, et mon maillot rouge, déjà minuscule, collait à mes courbes comme une seconde peau. J’étais venue seule dans ce club de vacances, espérant des rencontres, des frissons, un peu d’oubli. Je n’imaginais pas à quel point ce voyage allait déraper.

La journée avait commencé doucement. Baignade, cocktail, doigts de pied en éventail… Mais sous la surface tranquille, mes envies remontaient comme des bulles de chaleur. Je m’étais installée sur un transat, les jambes légèrement écartées, sans culotte sous mon paréo. Une provocation silencieuse que je savais être remarquée.

Il y avait des hommes autour de la piscine. Des corps toniques, des regards appuyés, des rires gras. J’aimais ça. J’aimais me savoir observée. Je laissais parfois glisser le tissu, juste assez pour qu’ils aperçoivent un bout de ma poitrine, ou le galbe de mes fesses nues lorsque je me retournais. Je les allumais en silence, et leur tension m’excitait.

En fin d’après-midi, l’ambiance changea. Le bar avait rouvert, l’alcool coulait, les corps s’échauffaient. J’étais allongée sur le ventre, fesses offertes, et je sentis une ombre s’approcher. Une main frôla ma cuisse. Je ne bougeai pas. Une autre main s’ajouta. Puis une troisième. J’étais encerclée.

Ils étaient quatre. Je ne connaissais pas leurs noms. Je n’avais pas besoin de les connaître. J’avais juste besoin d’être prise. Je me redressai lentement, le regard voilé de désir, et sans un mot, j’enlevai mon haut de maillot. Mes seins jaillirent, lourds, tendus. Les hommes grognèrent comme des fauves.

Je descendis dans la piscine. L’eau était tiède. Je m’assis sur la margelle, jambes écartées, offrant mon sexe trempé aux regards affamés. Le premier s’agenouilla devant moi, plongeant sa bouche contre mes lèvres gonflées. Je basculai la tête en arrière, m’abandonnant. Derrière moi, un autre me caressait les fesses, les massait, les écartait avec une faim brutale. Les mains se multipliaient sur ma peau, chaque centimètre de mon corps palpé, pressé, exploré.

L’un d’eux me prit par la bouche. Je sentis la dureté chaude de sa queue s’imposer sur mes lèvres. Je l’avalai lentement, avec cette envie d’avaler la luxure tout entière. Ma bouche était pleine, ma chatte dégoulinait sous les coups de langue d’un autre, et mes fesses s’offraient déjà à un troisième. J’étais dévorée. Et j’adorais ça.

Le premier me pénétra. Brutalement. Mon dos se cambra, ma gorge étouffa un gémissement sous la pression du sexe dans ma bouche. Ils m’utilisaient sans douceur, comme une chose offerte aux pulsions les plus brutes. Je sentais les coups de reins, le claquement des peaux, les cris rauques autour de moi. Ils me baisaient comme une chienne en chaleur, et je me laissais faire, les jambes grandes ouvertes, le corps tendu, offerte à leur plaisir.

Je changeai de position, me plaquant contre le carrelage brûlant. L’un d’eux me pénétra à nouveau, cette fois par derrière. Ses couilles claquaient contre mes lèvres mouillées, pendant qu’un autre me tenait les cheveux pour m’imposer sa queue dans la bouche. J’étais coincée, impuissante, dans cette position où chaque trou était comblé. Mes seins pendaient, secoués par les mouvements, et l’eau éclaboussait ma peau brûlante.

Ils prenaient des tours. Ils s’échangeaient mes orifices comme on se passe une bouteille lors d’une fête trop arrosée. L’un dans ma gorge, l’autre dans mon cul, un autre encore frottant sa queue contre mes seins trempés. Je ne savais plus combien ils étaient. Cinq ? Six ? Peu importait. J’étais leur jouet.

Mes orgasmes éclataient, violents, incontrôlables. Chaque pénétration déclenchait une décharge qui traversait tout mon être. Je hurlais, bâillonnée par des queues, déformée par le plaisir. L’une des queues explosa dans ma bouche, son sperme chaud coulant sur ma langue, pendant qu’une autre inondait mon ventre. D’autres se masturbaient au-dessus de moi, giclant sur mes seins, mon visage, mes fesses trempées.

Je glissai dans l’eau, haletante, le corps recouvert de leur foutre, les jambes tremblantes. Mais ce n’était pas fini. Ils me relevèrent, me portèrent contre le mur de la piscine, me plaquant violemment contre les pierres chaudes. L’un d’eux me pénétra à nouveau, et je sentis sa queue gonflée remplir mon cul. Je criais de plaisir, secouée par l’intensité, pendant qu’un autre s’introduisait dans ma chatte déjà ravagée.

Double pénétration. Sauvage. Sans pitié. J’étais transpercée, coincée entre deux corps musclés, me cambrant comme une salope en transe. Ils s’enfonçaient profondément, me prenaient en cadence, me faisaient vibrer de l’intérieur. Je gémissais, salie, comblée, vidée de toute pudeur.

Ils me laissèrent tomber sur une chaise longue. Le soleil déclinait, la chaleur restait. Ils continuaient à se branler autour de moi, me couvrant de leur foutre comme un hommage salace. J’étais allongée, nue, offerte, recouverte de leur désir. Une putain de vacances. Une expérience inoubliable.

Et ce n’est que plus tard, dans ma chambre, que j’ai eu envie de la raconter. De la revivre, encore et encore, dans ma tête. De la partager avec d’autres, ceux qui fantasment derrière un combiné, ceux qui n’osent pas mais qui veulent tout entendre.

C’est pour ça que je suis devenue hôtesse de téléphone rose. Parce qu’il n’y a rien de plus excitant que de murmurer ce genre d’histoire à des inconnus, la voix chaude, les mots crus, le souffle court. Je sais ce qu’ils veulent entendre. Je sais comment les faire jouir, juste avec ma langue, mes récits, mes souvenirs trempés.

Chaque appel est une nouvelle scène. Je me rhabille de mes fantasmes, je redeviens cette salope au bord de la piscine, entourée de queues dures, prête à tout. J’offre ce que j’ai vécu, et ce que j’invente. Je suis leur rêve, leur confession, leur putain de l’autre côté du fil.

Alors si toi aussi tu veux entendre la suite, la vraie, la sale, appelle-moi.
Je suis là, prête à t’embarquer dans mes souvenirs… ou à en créer d’autres rien que pour toi.

Vacances torrides :
ma baignade collective au bord de la piscine

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